Médias : Jean-Pierre Pernaut ne compte pas quitter TF1





Jean-Pierre Pernaut ne compte pas quitter TF1

Jean-Pierre Pernaut ne compte pas quitter TF1


























Jean-Pierre Pernaut était samedi soir l’invité de Thierry Ardisson sur le plateau de « Salut les Terriens ». À 64 ans, le journaliste présente depuis 27 ans le bulletin d’information de la mi-journée sur TF1.  Un rôle que l’époux de Nathalie Marquay ne compte pas abandonner de sitôt. Pour preuve,  alors que le robot de l’homme en noir lui demande s’il n’est pas parfois lassé du fauteuil de présentateur du JT de 13 heures et s’il n’envisage jamais de céder sa place, la réponse de Jean-Pierre Pernaut est sans appel. « Non on n’arrête pas comme ça ! On ne décide pas d’arrêter tant qu’on a la pêche, tant qu’on a la passion, tant que le public est là et tant que mon patron me garde », a-t-il confié.


« En 40 ans, il y a eu deux présentateurs au 13 heures »

Celui qui a récemment confié qu’il détestait sa marionnette des « Guignols de l’Info » en a profité pour défendre la politique de ressources humaines de son employeur. « En 40 ans, il y a eu deux présentateurs au 13 heures, dans une chaîne qui est souvent décriée pour faire valser les gens très souvent », a-t-il fait remarquer. Et d’insister : « Il y a eu deux présentateurs au 13 heures, il n’y en a pas eu beaucoup plus au 20 heures donc c’est une chaîne où on est très stable ».

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/znVebLjNWzE/53942-jean-pierre-pernaut-ne-compte-pas-quitter-tf1.html

Livres : Elle et lui : Marc Levy renoue (enfin) avec la comédie romantique





« Elle et lui », Marc Levy revient à la comédie romantique


























Terrafemina  : Le héros de « Elle et lui » était déjà l’un des personnages principaux dans votre premier livre « Et si c’était vrai ». Pourquoi ce retour aux sources après quinze romans ?Marc Levy : Par désir et par plaisir. Je voulais renouer avec des personnages auxquels j’étais très attaché. Ils m’ont manqué. Aussi fou que cela puisse paraître, pour un romancier les personnages deviennent des personnes qui font partie de votre vie. Un jour en me baladant avec mon meilleur ami, je lui ai montré la fenêtre d’un appartement en lui disant que c’est là que vivait l’héroïne de mon roman Toutes ces choses qu’on ne s’est pas dites. Il m’a pris pour un fou, et m’a lancé un regard consterné. Mais moi j’étais très sincère. Quand on passe des mois et des mois avec des personnages, ils rentrent dans votre vie. Donc en écrivant ce roman, j’avais envie de renouer avec ces personnages, mais aussi la comédie. Ça faisait sept ans que je n’en avais pas écrit et ça me manquait. J’avais envie de légèreté et j’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver tout ça.Tf : Ce livre est une belle comédie romantique à mi-chemin entre « Quand Harry rencontre Sally » et « Coup de foudre à Notting Hill ». Il y a d’ailleurs un côté très cinématographique dans ce roman. Avez-vous emprunté délibérément aux codes de la comédie romantique ?M.L : Je ne dirais pas que j’emprunte aux codes. Mais ça me touche beaucoup quand on me dit que j’ai une écriture visuelle car en seize romans je n’ai jamais décrit physiquement un de mes personnages. Mais c’est ça le métier de romancier. Quand je lisais Les Misérables, je voyais un film, le cinéma n’existait pas. On n’a jamais lu de roman adapté d’un film, c’est l’inverse. Finalement, cette magie du métier de romancier, c’est de créer des images dans la tête d’un lecteur, uniquement avec des mots. Donc étrangement, ce n’est pas le roman qui emprunte au cinéma. C’est le cinéma qui met en image le travail du romancier. Après, est-ce qu’il y a des codes dans la comédie romantique ? Oui. Mais comme il y en a dans le polar et le thriller.Tf : Au rayon inspirations, Paul Barton le héros est comme vous un ancien architecte devenu écrivain de romans populaires, qui comme vous cartonne en Asie et qui comme vous est un expatrié. On ne va pas se mentir, vous avez mis énormément de vous en lui…M.L : C’est possible. Je suis quelqu’un d’extrêmement pudique et j’ai toujours fait très attention à garder une certaine réserve. Mais il est vrai que lorsqu’on se retrouve dans le domaine de la comédie et de l’autodérision, cela permet de raconter plus de choses. Le risque de se prendre au sérieux n’existe plus. Donc oui, on a beaucoup de choses en commun, comme le fait qu’il soit très maladroit, gauche, un peu timide.Tf : Il y a une scène dans laquelle il vomit de stress avant d’entrer sur un plateau télé. Et vous-même, il paraît que vous détestez ce genre de chose. C’est un clin d’œil à l’une de vos mésaventures ?M.L : Oui, c’est du vécu. Je peux être extrêmement malade avant d’entrer sur un plateau de télévision. Mon attachée de presse pourra vous le confirmer, c’est arrivé, et pas qu’une seule fois. C’est encore ce rapport à la pudeur, le fait de se mettre en avant. Moi j’écris parce que ça me permet de partager des choses avec les gens sans me montrer. C’est ce qui fait la différence entre celui qui veut être acteur et celui qui veut être metteur en scène.Tf : Dans le livre, on peut lire que Paul est « désarmé face à son succès ». Comme lui, c’est quelque chose que vous pouvez ressentir ?M.L : C’est quelque chose que je vis depuis seize ans. On se demande toujours « pourquoi moi ? Pourquoi pas quelqu’un d’autre ? » La motivation ce n’est pas le succès. La motivation c’est l’envie de partager avec les autres. Il y a quelque chose de très impudique dans le mot succès, ce qui n’empêche pas que ça produise un immense plaisir. Et puis c’est très difficile d’en parler, c’est extrêmement désarmant. Donc c’est bien aussi que je puisse en parler à travers mon roman. Ça fait du bien de se moquer de soi-même et ça montre qu’on peut vivre ça pleinement sans se prendre au sérieux.Tf : Si le héros s’inspire de vous, de qui s’inspire l’héroïne, Mia, l’étoile montante du cinéma britannique ?M.L : Elle m’est venue comme ça. Mais ce qui est drôle, c’est qu’on pourrait imaginer que l’idée d’une star qui s’inscrit sur un site de rencontres est quelque chose de complètement improbable. Pourtant, ça, c’est bel et bien inspiré de quelqu’un que je connais. Je tairais son nom mais c’est une actrice anglaise qui l’a vraiment fait. Elle a même eu des rendez-vous. C’est comme ça que j’ai eu l’idée du roman. Elle était extrêmement seule dans sa vie, et ça correspond au personnage de Mia. Car au-delà de la comédie, c’est un roman sur la solitude urbaine qui touche 18 millions de personnes en France. On est seuls parce que l’on n’arrive pas à sortir de notre propre enveloppe, de l’image que l’on s’est faite de soi-même.

>> « Une autre idée du bonheur » : Marc Levy nous emmène en road trip <<

Tf : « Elle et lui » évoque donc les sites de rencontres. Quel regard portez-vous sur ce phénomène ?M.L : Moi je trouve ça très bien. La maladie, c’est la solitude. Ce qui compte ce n’est pas le site de rencontres en soit, c’est ce que les gens en font. Si on est sincère dans la vie, on l’est tout autant sur un site de rencontres. D’ailleurs, il y a un personnage dans mon roman qui le dit bien : se rencontrer sur un site ou dans un bar, ça change quoi ? Ce qui compte c’est la rencontre. Donc si ça permet d’aller au-delà de cette pudeur qui nous bloque, je dis oui. Ça m’est arrivé tellement de fois dans ma vie d’être assis dans un train ou un bus et de rêver de parler à la fille assise en face de moi. Mais j’étais incapable de le faire, tellement j’avais la trouille. Je fais partie de cette catégorie d’hommes à qui il faut six mois pour aller parler à la fille qui nous sourit à l’autre bout de la pièce. Donc si le site de rencontres permet de s’alléger de cette pudeur qui bloque, c’est bien.Tf : Dans vos livres vous évoquez souvent des phénomènes de société (mariage homosexuel, écologie, adoptions illégales). Cette fois-ci, l’actualité est encore au cœur de votre roman avec l’évocation du régime nord-coréen. Pourquoi avoir décidé de parler de ça précisément ?M.L : Tout simplement parce que je me suis rendu en Corée du Sud et que ça m’a interpellé. C’est vrai que c’est une dictature terrible et qu’on n’en parle jamais. Il n’y a pas de pétrole en Corée du Nord et son économie n’intéresse personne, alors que l’on est face à un peuple qui vit en esclavage. Ils connaissent la famine, la misère, la déportation, c’est épouvantable. Donc j’avais envie d’en parler, comme j’ai eu envie de parler de la dictature en Argentine ou de l’apartheid. En situant une des intrigues en Corée, ça me permettait de mélanger le côté ubuesque de la comédie avec cet écrivain qui se retrouve dans un pays où il ne comprend rien à ce qu’on lui raconte, et un côté beaucoup plus grave.Tf : De façon assez brève, « Elle et lui » évoque la littérature érotique. Aujourd’hui, c’est vrai que ce genre est très à la mode bien qu’il soit aussi décrié pour diverses raisons. En tant qu’auteur de romans d’amour, que pensez-vous de cette tendance ?M.L : L’important, c’est de donner envie de lire. Aujourd’hui, dans le temps de loisir qui nous est accordé, on le passe malheureusement le plus souvent connecté et on est en permanence sollicité par l’image. Donc moi ce que je crains, ce n’est pas que les gens ne lisent pas ce qu’ils devraient lire, mais qu’ils oublient le bonheur de lire. Parmi les courriers que je reçois et qui me font le plus plaisir, c’est ceux où les gens me disent qu’ils n’avaient plus ouvert de livre depuis vingt ans et que je leur ai redonné le goût de la lecture. Donc si un livre comme 50 nuances de Grey permet aux gens de retrouver l’envie de lire, c’est très bien. Parce qu’une fois que ces gens-là auront fini le roman, ils vont avoir envie d’en découvrir un autre, et puis un autre. Et ça c’est tant mieux.Tf : Dans la littérature sentimentale, il y a des auteurs qui vous inspirent ?M.L : Victor Hugo. Ça va faire grincer des dents, mais je trouve que Les Misérables est un roman extrêmement sentimental. Je pourrais aussi citer Alexandre Dumas, Françoise Sagan, ou Alessandro Baricco qui a écrit le très beau Soie. Pour moi, la littérature sentimentale est une littérature qui provoque une émotion sur le lecteur, grâce à laquelle il entre en empathie avec les personnages et s’approprie leur histoire.Tf : On vous doit des romans d’amour, d’aventure, fantastique, et même policiers. Au bout de 16 livres, qu’est-ce qui vous fait encore rêver ? Quels univers aimeriez-vous explorer ?M.L : Ma liberté d’écrire elle est d’alterner les genres. Je n’avais pas écrit de comédie depuis sept ans et j’y suis revenu. Et si j’ai envie d’en écrire une nouvelle l’année prochaine, je le ferais. Je ne veux pas m’enfermer dans un genre. Si c’était vrai avait fait un gros carton à l’époque de sa sortie, mais je ne voulais pas refaire quinze fois le même livre. Mais il n’y a jamais tromperie. Quand je dis que je publie un thriller, je le fais, et les lecteurs qui n’aiment pas le genre ne me suivent pas. Un jour peut-être, j’écrirais une saga, une histoire longue sur 3 ou 4 volumes où l’on verrait évoluer les personnages. Ça me brancherait bien, mais bon, on verra…

>> Dans la valise de Marc Levy pour une virée à New York <<

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/jrEkqVJT2fI/53963-elle-et-lui-marc-levy-renoue-enfin-avec-la-comedie-romantique.html

L’actu : Génération Muppies : portrait-robot de la business woman 3.0.





Génération Muppies : portrait-robot de la business woman 3.0.

Génération Muppies : portrait-robot de la business woman 3.0.


























Que ce soit dans la rue, à la salle de sport ou au travail, elles sont faciles à reconnaître. Vêtues d’une robe chinée sur l’habibliothèque et chaussées de Stan Smith, elles rêvent de créer une start-up innovante, dépassent les 1 000 followers sur Twitter et se déplacent en vélo pour aller à leur cours de yoga, au marché ou au bureau. Leur nom ? Les muppies. Derrière cette appellation un peu ridicule (et un brin réductrice) se cachent en réalité les business women de demain. Nées après la crise qui a ébranlé l’économie mondiale en 2008, les muppies (contraction de « Millenials » et de « Yuppies ») dynamitent les codes du business traditionnel. La muppie « a entre 22 et 35 ans, a fait des études supérieures, se félicite d’avoir une vie sociale épanouie, passe chaque jour une heure sur les réseaux sociaux, une demi-heure sur les e-shops, quarante minutes à penser au menu de son déjeuner et quarante autres à envisager de changer de job », décrypte pour le Huffington Post l’ex-consultante dans la finance et créatrice de la websérie The Underwriting Michelle Millner.


Une fille issue de la génération débrouille

Contrairement aux working girls des années 80, qui rêvaient de faire carrière (et fortune) sans se départir de leurs stilettos, les muppies ne sont ni matérialistes, ni en quête de pouvoir. Préférant privilégier leur bien-être au travail que la course aux primes et aux bonus, elles ont retenu la leçon qui a parfois fait défaut à leurs aînées : l’argent ne fait pas le bonheur, en particulier lorsqu’il peut à tout moment s’envoler en un claquement de doigts. « Six ans après la faillite de la banque Lehman Brothers, Gordon Gekko (le golden boy sans scrupules incarné par Michael Douglas dans Wall Street, ndlr) fait nettement moins rêver. La nouvelle génération a compris que la réussite par l’argent n’est pas une fin en soi », analyse Michelle Milner.


Une geekette ambitieuse

Pour autant, les muppies sont loin d’être de douces idéalistes : elles ont simplement su s’adapter aux innovations de ces dernières années et ont de fait revu leurs priorités professionnelles. Hyper-connectées et ouvertes sur le monde, elles passent autant de temps à soigner leur influence numérique qu’à élaborer le business plan de leur start-up écoresponsable qui finira tôt ou tard par changer la face du monde. Quant à leur terrain de chasse pour networker, il tient davantage du festival über-branché SXSW que du forum économique de Davos.


Une foodie accro au yoga (et aux graines de chia)

Quand la yuppie des 80’s rêvait d’un penthouse au cœur de Manhattan ou d’un appartement haussmannien dans le très chic XVIe arrondissement de Paris, partait en vacances à Saint-Tropez ou à Courchevel, achetait des pièces de couturiers et dînait dans des trois étoiles au Guide Michelin, la muppie, elle, voit plus petit. Et aussi plus healthy.

Fervente adepte du DIY (« do it yourself »), la muppie décore son studio du Xe arrondissement de meubles vintage trouvés aux puces pour moins de cent euros, va au yoga ou à la gym suédoise une fois par semaine, part en week-end à Lisbonne ou à Berlin grâce à Airbnb et se prépare chaque jour une salade au quinoa dans un Mason Jar pour aller au bureau.


En bref : une fille bien dans ses baskets

Moins superficielle et plus responsable que la working girl des années 80, la muppie est finalement plus que toutes ces caractéristiques qu’on veut lui prêter. Convaincue des bienfaits d’une économie collaborative et respectueuse de la planète, elle pourrait bien être celle qui changera notre manière de faire du business. Au point de sauver la planète ? « C’est tout à fait possible, conclut Nathalie Rozborski, du bureau de style Nelly Rodi pour le Madame Figaro. Elle appartient à une génération qui a le courage de casser les codes pour réinventer un monde qui lui ressemble. »

 

>> Elles ont réussi dans le digital… : 32 parcours inspirants de femmes leaders du numérique <<

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/l0o2wdS_tek/53957-generation-muppies-portrait-robot-de-la-business-woman-30.html

International : Les femmes iraniennes s’émancipent grâce au surf





Into the Sea : les femmes iraniennes s'émancipent grâce au surf

Into the Sea : les femmes iraniennes s’émancipent grâce au surf


























Une « incroyable aventure humaine ». C’est ainsi que la réalisatrice Marion Poizeau décrit son périple en Iran, où elle tente depuis cinq ans d’introduire le surf comme discipline sportive à part entière, mais aussi en faire une échappatoire pour les femmes, discriminées par la loi islamique. De son expérience, elle a tiré Into the Sea, un film documentaire de 52 minutes sélectionné l’and dernier au London Surf Film Festival, au Festival International du film documentaire Cinéma Verité de Téhéran, et disponible depuis décembre sur iTunes.

Originaire d’Hossegor, dans les Landes, Marion Poizeau s’est d’abord rendue en 2010 avec son amie irlandaise et quadruple championne de surf Easkey Britton dans la région sunnite du Baloutchistan, au Sud-Est de l’Iran, afin de voir s’il était possible pour les Iraniennes de prendre la vague sans risquer de s’attirer les foudres des autorités religieuses du pays. « Les religieux ont d’abord exigé que les femmes ne surfent pas avec les hommes, que la plage soit partagée. Mais l’océan ne fait pas de différenciation. La force de la vague nous a réunis. Et personne n’y a trouvé à redire », explique la jeune documentariste à TéléObs.


Surfer pour s’affranchir des barrières religieuses et culturelles

Grisée par son expérience de glisse sur les eaux de l’océan indien – la première pour une femme en Iran -, Marion Poizeau décide de repartir dans le Baloutchistan en septembre 2013. Cette fois-ci, la snowboardeuse Mona Seraji et la nageuse Shalha Yasini, toutes deux Iraniennes, se joignent à elle à et Easkey.

L’objectif ? Inciter les Iraniennes à faire tomber les tabous en les initiant au surf et en leur donnant la possibilité de partager leur passion. « Je ne voulais pas que nous soyons uniquement deux Occidentales à surfer et perçues avec des droits à part. Surfer à plusieurs et avec des Iraniennes allait forcément inciter d’autres femmes à s’y mettre », affirme Marion Poizeau. Sa démarche a payé. Dès leur arrivée, les quatre surfeuses ont été rejointes par d’autres femmes, mais aussi par des hommes. « Le côté ludique et fun de la discipline a opéré et nous avons été particulièrement bien reçues. Des hommes ont tenu à garantir notre sécurité. Je n’ai jamais connu un tel accueil ailleurs dans le monde », confie la réalisatrice.


Des autorités religieuses locales favorables

Quant aux autorités religieuses du Baloutchistan, elles se montrent contre tout attente favorables à ce que les femmes se jettent à l’eau. À une condition : que leur combinaison les couvre intégralement, tête comprise. « C’est une difficulté car la combinaison intégrale est de fait plus lourde et l’Océan Indien est à 30 degrés… Mais l’essentiel est de prendre la vague. Il y a ici un vrai potentiel et une grande sérénité », explique la documentariste, qui se refuse à faire d’Into the Sea un support pour « dénoncer la condition des femmes en Iran ». Au contraire, son documentaire se veut le moyen de « montrer comment le sport peut être un outil d’émancipation » en « favorisant les changements sociaux ».

La prochaine étape pour Marion Poizeau ? Permettre à davantage d’Iraniennes de prendre la vague en ouvrant sur place un atelier de fabrication de planches, puis d’une école de surf. « Le sport se développe aussi grâce à un groupe d’Iraniens, hommes et femmes, qui s’organisent pour mettre en place des cours et dans un futur proche, construire un bâtiment pour une école de surf. Nous avons créé le collectif We Surf In Iran pour cela. »

 

>> Afghanistan : les petites skateuses prennent le pouvoir <<

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/GnPIp970mcs/53967-les-femmes-iraniennes-semancipent-grace-au-surf.html

Buzz : Mademoiselle K prend la défense de Zaz après le scandale





Mademoiselle K prend la défense de Zaz après le scandale

Mademoiselle K prend la défense de Zaz après le scandale


























 

Depuis quelques semaines, les médias ne sont pas tendres avec la chanteuse Zaz qui a fait scandale après des propos maladroits sur l’occupation, puis avec ses concerts privés facturés 40 000 euros. Mais malgré tout, la chanteuse fait face et ne se laisse pas abattre.

 

>> Zaz : la chanteuse est-elle en couple ou célibataire ? <<

 


Mademoiselle K comprend Zaz

C’est dans les colonnes de Voici que Zaz a trouvé un soutien inattendu en la personne de Mademoiselle K qui a tenu à dire qu’elle aurait fait exactement la même chose :

 

« Moi, je vis dans un 27 m2 et je loue mon appart. Ce n’est pas parce que tu passes à la télé que tu gagnes des fortunes. OK, Zaz est très popu­laire, elle ne doit pas trop mal gagner sa vie, mais 40 000 € pour un concert, à son niveau, ce n’est pas beau­coup. Elle n’a pas joué pour un dicta­teur ! Je ne vois pas où est le mal. Si demain j’ai un concert privé à 40 000 €, je prends ! »

 

Des propos qui feront sans doute plaisir à Zaz qui a heureusement remporté un très beau succès en France et en import en 2014. De quoi se remonter le moral et affronter les médias plutôt deux fois qu’une.

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/N9iZ-boXC-g/53918-mademoiselle-k-prend-la-defense-de-zaz-apres-le-scandale.html

Médias : Top Chef 2015 : recettes de tarte aux pommes pour Etchebest et Sarran


Top Chef 2015 : recettes de tarte aux pommes pour Etchebest et Sarran

 

« Deux équipes de 3 candidats vont s’affronter autour d’un dessert simple et populaire : la tarte aux pommes. Ce gâteau familial va permettre aux candidats d’exprimer une très grande créativité, et il va leur en falloir, car ils seront jugés par Christelle Brua (meilleure chef pâtissier 2014) et Yann Couvreur, un jeune prodige de la pâtisserie qui travaille chez Stéphanie Le Quellec (gagnante de Top Chef 2011). Ces deux chefs pâtissiers choisiront les 3 meilleures assiettes qui ramèneront chacune 1 point à l’équipe qui l’a réalisée. »

 

Vous pensiez tout savoir de la classique (mais non moins délicieuse) tarte aux pommes ? La quatrième émission de « Top Chef 2015 » pourrait bien vous surprendre puisque les chefs Michel Sarran et Philippe Etchebest ont décidé de revisiter totalement ce grand classique de la pâtisserie !

 

>> Quelle variété de pomme pour les tartes, compotes, crumbles ou pommes au four ? <<

 

L’occasion de découvrir d’autres façons de réaliser une tarte aux pommes, et de surprendre ses invités. Mais attention, le candidat le moins convaincant devra aller en dernière chance, il n’y a donc pas de place pour l’erreur.

 

Ci-dessous, vous pouvez découvrir la bande-annonce de cette quatrième émission de « Top Chef 2015 » diffusée en première partie de soirée sur M6. Au menu du reste du programme, les candidats devront faire en sorte de faire manger du poisson à des enfants, une mission compliquée.

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/czR5gCHw0o0/53927-top-chef-2015-recettes-de-tarte-aux-pommes-pour-etchebest-et-sarran.html

Médias : Top Chef 2015 : Vanessa Robuschi et son restaurant à Marseille





Top Chef 2015 : Vanessa Robuschi et son restaurant à Marseille

Top Chef 2015 : Vanessa Robuschi et son restaurant à Marseille


























 

C’est une saison 2015 très masculine que nous propose M6 avec son « Top Chef ». Et pour cause puisqu’après seulement quelques semaines de compétition, il ne reste plus qu’une femme au casting : Vanessa Robuschi. Une candidate de 32 ans qui est bien décidée à prouver que les femmes ont leur place en cuisine, même si ce n’est pas évident tous les jours comme elle le confie dans les colonnes de Paris Match :

 

« C’est un peu difficile. Quand les deux autres filles sont parties, je me suis dis qu’il fallait que je mette les bouchées doubles pour me battre pour elles. Montrer que nous les femmes, on a aussi notre place dans ce monde-là, même si on est très peu, qu’on apporte autre chose qu’un homme, comme de la sensibilité par exemple. »

 


Un restaurant à Marseille

Loin de se laisser impressionner, Vanessa a confiance en sa cuisine qu’elle partage au quotidien dans son restaurant « Question de Goût » qui se trouve dans la belle ville de Marseille (145-147 Avenue Joseph Vidal, 13008 Marseille). Un établissement qui fait évidemment la fierté de celle qui se prédestinait à être architecte avant de tout lâcher pour la cuisine.

 

Et quand on lui demande de quel membre du jury elle se sent la plus proche, Vanessa Robuschi répond sans trop hésiter beaucoup apprécier le chef Etchebest.

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/z0l0-axV-Yc/53924-top-chef-2015-vanessa-robuschi-et-son-restaurant-a-marseille.html

Médias : Top Chef 2015 : Jérémy Moscovici est-il de la famille de Pierre (ancien ministre) ?





Top Chef 2015 : Jérémy Moscovici est-il de la famille de Pierre (ancien ministre) ?

Top Chef 2015 : Jérémy Moscovici est-il de la famille de Pierre (ancien ministre) ?


























 

S’il y a bien un candidat à côté duquel on ne peut pas passer cette saison dans « Top Chef », c’est bien Jérémy Moscovici. Avec son caractère bien trempé, le jeune chef n’hésite jamais à dire ce qu’il pense, même s’il faut aller à l’encontre des membres du jury, ou parfois sembler prétentieux.

 


« Certaines personnes me trouvent fascinant »

S’il agace beaucoup (notamment sur les réseaux sociaux, mais aussi dans les médias), Jérémy Moscovici admet qu’une partie du public le trouve « fascinant » et apprécie son originalité.  Malheureusement, ce n’est pas le cas de tout le monde et le candidat n’hésite pas à remettre en cause la production de l’émission qui ferait des montages qui ne sont pas à son avantage, et cela volontairement afin de faire le buzz.

 


Une famille connue ?

Mais c’est une autre question qui brûle les lèvres des téléspectateurs qui se demandent si Jérémy Moscovici a un lien avec l’ancien ministre de l’économie qui porte le même patronyme. Facétieux, le candidat préfère éluder la question – sans doute pour garder une part de mystère – et s’en amuse dans les colonnes du dernier numéro de Closer :

 

« Ce n’est pas le sujet aujourd’hui. Si on m’invite sur le plateau de LCP, je prévoirai peut-être de répondre à cette question… »

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/tFDPMHFqikU/53943-top-chef-2015-jeremy-moscovici-est-il-de-la-famille-de-pierre-ancien-ministre-.html

Médias : Philippe Etchebest : il raconte sa première saint-valentin avec sa femme





Philippe Etchebest : il raconte sa première saint-valentin avec sa femme

Philippe Etchebest : il raconte sa première saint-valentin avec sa femme


























Que vous soyez en couple ou pas, vous n’avez pas pu y échapper. Le week-end dernier était placé sous le signe de la Saint-Valentin. Et alors que la plupart des couples se sont rués dans les magasins pour trouver le cadeau parfait pour leur moitié et que d’autre se sont contenter d’une réservation dans le dernier restaurant à la mode, certains ont généralement des attentions toutes particulières et faites mains. C’est notamment le cas de Philippe Etchebest. Sous sa carrure de rugbyman, le chef doublement étoilé, membre du jury de la saison en cours de « Top Chef » sur M6, cache en effet un cœur tendre.


« Je pense être un peu romantique »

Il avait déjà révélé que, contrairement à ce que les téléspectateurs de « Cauchemar en cuisine » pourraient penser, il ne passe pas son temps à gueuler. Dans une interview à nos confrères Télé-Loisirs, il a dévoilé son côté fleur bleue. « On me dit souvent que ma cuisine est féminine. Je pense donc être un peu romantique », a-t-il avoué. Et de poursuivre : « Pour la première Saint-Valentin, avec ma femme, je lui ai offert des roses en chocolat. J’ai mis trois heures à les faire ! »

Aujourd’hui, le couple est marié depuis 17 ans et a un fils de 11 ans. La preuve qu’il ne faut jamais négliger la Saint-Valentin ?

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/RO3UQJtBuX4/53960-philippe-etchebest-il-raconte-sa-premiere-saint-valentin-avec-sa-femme-.html

Buzz : Kate Middleton révèle que le prince George adore la peinture





Kate Middleton révèle que le prince George adore la peinture

Kate Middleton révèle que le prince George adore la peinture


























À seulement un an et demi, baby George a déjà sacrément développé sa fibre artistique, a révélé jeudi dernier sa maman Kate Middleton. De passage à Portsmouth, dans le sud du pays, pour apporter son soutien à la candidature du médaillé olympique Sir Ben Ainslie pour la 35e Coupe de l’America en 2017, la jolie duchesse de Cambridge s’est livrée à quelques confidences sur le petit prince, qui sera bientôt grand frère.

Ravissante dans un manteau immaculé qui laissait apercevoir son baby bump, Kate Middleton, enceinte de sept mois, a confié aux journalistes présents que la peinture (probablement avec les doigts) était « une des activités préférées du prince George ».

Il faut dire que le petit prince de Cambridge a de qui tenir : passionnée par la peinture depuis son enfance, Kate Middleton a étudié l’histoire de l’art une fois à l’université. Et même si elle n’a jamais obtenu son diplôme, elle a tenu à transmettre à son fils son goût immodéré pour l’art et les beaux objets. D’ailleurs, lors de sa visite à Portsmouth, la duchesse n’a pas hésité à apporter quelques coups de pinceaux à une fresque murale sur le thème de la mer réalisée par des artistes locaux et des enfants de l’association de voile The 1851 Trust, dont elle est la marraine.

Et qui sait, peut-être que d’ici quelques années, c’est le prince George qui fera montre de sa fibre artistique lors de déplacements officiels !

Source Article from http://feeds2.terrafemina.com/~r/TerrafeminaNews/~3/CZOvzz6wuoA/53948-kate-middleton-revele-que-le-prince-george-adore-la-peinture.html