Valérie Bègue : l’ancienne miss rêve d’une famille nombreuse
En 2008, Valérie Bègue était élue Miss France. Juste après son sacre, des photos sexy prises quelques années avant étaient publiées dans la presse. Scandale chez les Miss. Geneviève de Fontenay ne s’en est toujours pas remise. Encore récemment, la dame au chapeau a martelé que Valérie Bègue avait « volé » son titre en violant la loi des Miss France (les candidates doivent être conformes à l’image Miss France et les Miss France ne font pas de photos trash).
Valérie Bègue veut plein d’enfants et animer Les Maternelles
Aujourd’hui, la vie de Valérie Bègue ne sent plus vraiment le soufre. Mariée avec le nageur Camille Lacourt, elle a une petite fille de deux ans prénommée Jazz et a bien envie de pouponner encore. « J’ai envie que ma famille connaisse la joie de grandir dans une tribu, comme moi », a-t-elle confié récemment à Télé Star. Côté carrière, la jeune femme se verrait d’ailleurs bien animer « Les Maternelles » sur France 5. Voilà qui devrait plaire davantage à Geneviève de Fontenay.
On connaissait son efficacité pour éliminer les rides et lutter contre le vieillissement cutané. Il faudra désormais compter avec son nouvel usage. À Londres, certaines célébrités débourseraient désormais 1 000 livres (soit 1 264 euros environ) pour avoir recours à des injections de Botox dans les seins. Baptisé breastox (contraction de breast pour poitrine en anglais et de Botox), le procédé promet de rendre à la poitrine sa tonicité et sa fermeté, mais aussi de gagner une taille de bonnet et ce, sans passer par la case bistouri.
Une augmentation mammaire sans chirurgie
Imaginé par le docteur Neetu Nirdohsh, le traitement, dont les effets durent six mois en moyenne, consiste en une injection de toxine botulique dans les muscles pectoraux. L’objectif : détendre temporairement ces derniers afin de gainer et de rehausser la poitrine. « C’est un lifting instantané des seins sans chirurgie. Particulièrement efficace pour les femmes dont le bonnet se situe entre le A et le C, cette méthode d’augmentation mammaire est plus sûre et plus rapide que chirurgie classique. Elle ne nécessite aucune convalescence, est pratiquement indolore et ne provoque ni effet secondaires ni cicatrice », a assuré au Daily Mail le docteur Nirdosh, propriétaire d’une clinique de chirurgie esthétique londonienne. « L’intervention, qui dure moins de trente minutes, est idéale pour les femmes souffrant de ptôse mammaire (seins qui tombent), d’un vieillissement prématuré de la poitrine ou de ridules inesthétiques suite à une exposition prolongée au soleil. C’est également une bon moyen de donner un coup de fouet à son décolleté pour pouvoir défiler sans soutien-gorge sur le tapis rouge, à l’instar de mes clientes », insiste-t-il. Des promesses alléchantes d’autant qu’au Royaume-Uni, quelque 11 000 opérations de chirurgie mammaire seraient pratiquées chaque année.
Une technique controversée
Pour autant, les vertus du breastox laissent les spécialistes français perplexes. Le docteur Charles Volpei, vice-président de la Société française des chirurgiens esthétiques plasticiens, a fait part de ses doutes à Elle.fr. « La mise au repos du muscle pectoral ne peut en aucun cas gonfler la glande mammaire, ça sent l’arnaque », a-t-il estimé. Et d’ajouter : « Il faudrait des quantités importantes de toxine botulique pour détendre ce muscle puissant, ce qui risquerait d’entraîner le sein vers le bas. » Un point de vue que partage le docteur Isabelle Sarfati, chirurgienne plasticienne, spécialiste de la chirurgie des seins. « Je ne vois pas comment ça marche et personne autour de moi n’en a entendu parler ! », a-t-elle fait savoir.
La mode est aux petits seins
De même, à Londres, pas sûr que les femmes se ruent sur cette nouvelle technique. Et pour cause, selon une récente enquête de l’Association britannique de Chirurgiens Plasticiens Esthétiques (BAAPS), la mode n’est plus aux « gros seins refaits ». Les chiffres révèlent ainsi une chute de 23% des augmentations mammaires sur les douze mois de l’année 2014, révélant une tendance pour les seins certes plus petits, mais aussi plus naturels. Une mode qui n’est certainement pas sans lien avec le scandale des prothèses PIP qui avait concerné entre 40 000 et 50 000 Anglaises.
Sur sa chaîn YouTube, Anita Sarkeesian décrypte la représentation des femmes dans les jeux vidéo.
Internet est capable du meilleur comme du pire. La vidéo-blogueuse Anita Sarkeesian en a fait l’amère expérience en l’espace de quelques mois. Spécialiste de la représentation des femmes dans la culture populaire, cette diplômée de sociologie a subi les insultes incessantes d’internautes après la publication de ses travaux sur les jeux vidéo.Tout avait pourtant bien commencé pour l’Américano-canadienne. Pour analyser les rapports entre jeux vidéo et féminité, la jeune femme voulait faire financer son projet à hauteur de 6000 dollars sur la plateforme de crowdfunding Kickstarter. L’appel aux dons a dépassé ses espérances en atteignant 160 000 dollars, récoltés auprès de 6 968 donateurs. Anita Sarkeesian a alors entrepris d’acheter 300 jeux vidéos et s’est donnée pour objectif de publier chaque mois une vidéo sur Youtube, comme celle-ci intitulée « Les femmes comme décoration d’arrière-plan » et publiée en août 2014.
Menaces de viol et incitation au suicide
Les travaux d’Anita Sarkeesian, soulignant régulièrement la misogynie ambiante que l’on peut parfois croiser dans l’univers des « gamers », a provoqué de nombreuses réactions de haine à son égard. Insultes, menaces de viol ou de mort, incitations au suicide… La YouTubeuse a subi le pire du web à deux reprises, en 2012 et 2014. Parmi ces agressions verbales, beaucoup de tweets mais également des détournements de son émission, des mèmes et montages moqueurs la tournant en ridicule.
Face à ce cyberharcèlement, Anita Sarkeesian a décidé de publier sur son blog « Feminist Frequency » quelques morceaux choisis des messages qui lui sont adressés. Le résultat : un condensé effrayant de misogynie, dont le point d’orgue sera la publication d’un jeu vidéo incitant à frapper la jeune femme, et surtout les menaces de mort proférées par un internaute bien décidé à divulguer son adresse sur Twitter.
Anita Sarkeesian devenue icône du jeu vidéo
La campagne de harcèlement dont a été victime Anita Sarkeesian est loin d’être un cas isolé. Depuis plusieurs mois, d’autres femmes, plus ou moins proches du monde du gaming, ont également été prises à partie sur les réseaux sociaux. Comme Zoe Quinn, dont l’histoire avec un journaliste spécialisé dans les jeux vidéo, lui a valu de devenir la cible d’une campagne de de slut-shaming. « Certains gamers utilisent alors le hashtag #GamerGate pour dénoncer le copinage entre développeurs et journalistes », rappelle les Inrocks. Ou encore Jenn Frank, contrainte de mettre un terme à son activité de critique de jeux vidéo.Loin de se laisser abattre par ces menaces, Anita Sarkeesian peut compter sur de nombreux soutiens, à commencer par la communauté des joueurs eux-mêmes. Les concepteurs d’un jeu de combat en arène baptisé Towerfall ont, en effet, voulu s’associer aux recherches de la sociologue en créant un personnage à son image. « Dans une extension du jeu, disponible depuis le début de l’année, les joueurs peuvent désormais incarner dix nouveaux archers. Parmi eux, une nouvelle archère bleue, directement inspirée par Sarkeesian », précise le site Arrêt Sur Images qui cite l’un des principaux développeurs du jeu. « Le travail d’Anita a été une inspiration pour l’équipe de TowerFall. Sa série de vidéo intitulée ‘Tropes vs Women in Games’ nous a donné un nouveau prisme pour nous permettre de mieux évaluer le design de nos personnages ».Zoe Quinn semble elle moins chanceuse. Après sa mauvaise expérience, l’Américaine avait créé, le 21 janvier dernier, Crash Override, un site anti-harcèlement à destination des jeunes femmes victimes de harcèlement en ligne. Un mois après son lancement, la plateforme ne semble pas décoller. Le compte Twitter du site reste inactif depuis le 23 janvier.
Nombre de fans de Nabilla s’interrogeaient sur la signification de son pseudo sur Twitter. En effet, pourquoi la starlette a-t-elle choisi le nom de @leonnaboo ? C’est l’ex de Nabilla, un certain Rich, qui a défleuré le secret auprès de Public. Selon lui, le « Leona » serait une référence à la chanteuse anglaise Leona Lewis, qui avait remporté l’édition britannique de X-Factor en 2006. Rich précise qu’à l’époque de leur relation, Nabilla et lui étaient fans de la chanteuse de Bleeding Love. Et visiblement, la starlette a voulu faire un clin d’oeil à cette période en créant son pseudo sur Twitter (même si elle était un peu jalouse de l’admiration que vouait Rich à la jolie Leona).
Et qu’en est-il du « Boo » ? Rich précise à Public qu’il s’agit probablement d’une référence au rappeur… Booba, dont Nabilla est fan.
« Leonnaboo » fait en tout cas parler d’elle en ce moment : après avoir décroché son brevet des collèges et fêté en grande pompe ses 23 ans, les rumeurs avancent que la brunette et son amoureux Thomas Vergara pourraient bientôt se marier. A moins que Nabilla ne soit trop occupée à travailler sur son projet de nouvelle émission pour convoler.
Clovis Cornillac : Caroline Proust et Lilou Fogli, les femmes de sa vie
Le moins que l’on puisse dire, c’est que tout va pour le mieux dans la vie du comédien Clovis Cornillac que l’on pourra découvrir à partir de ce 11 février en tête d’affiche de la très attendue (et bien reçue par les critiques) série « Chefs » sur France 2. Une série où le jeune papa campe le rôle d’un chef peu commode.
Un papa comblé
Heureux dans sa vie professionnelle, Clovis Cornillac l’est tout autant dans sa vie privée. Marié avec la comédienne Caroline Proust (« Engrenages ») entre 1994 et 2010, Cornillac aura deux filles (des jumelles) de cette première union. Remarié avec la comédienne Lilou Fogli depuis 2013, le couple a un petit Nino. Trois enfants qui font le bonheur de l’acteur qui a malgré tout une vision assez personnelle de son rôle de papa, comme il le confie dans les colonnes de Télé 7 Jours :
« Dans mon couple, j’ai l’impression que la mère protège et que moi, je suis le relais avec le monde extérieur. Je ne me vois pas comme une maman de substitution. Passer des heures au parc avec la poussette, ce n’est pas vraiment mon style ! (…) Je représente une forme d’autorité, sans en abuser, dans un schéma assez classique. Mes enfants se confient à moi et je pense que j’ai une place qui leur convient. »
Inséparable de la jolie Lilou, Clovis Cornillac a toutes les raisons du monde d’avoir le sourire.
1/ Chefs est aux antipodes de Top Chef
Oubliez les émissions de télé-réalité culinaires. De l’aveu de son créateur, Arnaud Malherbe, Chefs n’a rien à voir avec ces dernières. « La télé-réalité culinaire, façon Top Chef ou Masterchef, était presque un contre-exemple, un repoussoir. Nous voulions entrer dans les cuisines, dans les coulisses, pour lever le voile sur ce monde caché. », a-t-il expliqué.
2/ Une série portée par trois acteurs
Aux côtés de Clovis Cornillac, qui joue le chef bourru au grand coeur à la tête d’un restaurant gastronomique, deux nouvelles têtes, Hugo Becker et Anne Charrier. L’un est un jeune homme en liberté conditionnelle qui découvre l’univers de la cuisine, et l’autre une mère célibataire qui tente de creuser son trou en dépit de la misogynie ambiante.
3/ A l’origine de Chefs, un documentaire
Le réalisateur, Arnaud Malherbe, et sa co-scénariste, Marion Festraëts, ont eu l’idée de Chefs en regardant un documentaire dévoilant l’envers du décor d’un grand restaurant. Le rythme intense et la violence des rapports humains en cuisine leur ont en effet inspiré cette série.
4/ Les acteurs ont été entraînés dans un vrai restaurant
Les comédiens de Chefs ont bénéficié d’une formation auprès du chef David Toutain, qui possède un restaurant dans le 7ème à Paris. Par ailleurs, les figurants sont des professionnels, et une véritable cuisine véritable a été reconstituée pour le bien du tournage.
5/ Vous n’apprendrez pas à faire un gratin dauphinois
Si les créateurs de la série ont tout fait pour que l’univers de la cuisine soit fidèlement reconstitué, Chefs met avant tout l’accent sur la tension dramatique. La cuisine passe au second plan derrière les relations entre les personnages. On vous a dit, si vous cherchez des nouvelles recettes, regardez Masterchef.
>> La recette de la ratatouille d’Hélène Darroze <<
Chefs : Clovis Cornillac aime la cuisine et le vin
Dans « Chefs », la nouvelle série de France 2 diffusée dès ce 11 février à 20h50, Clovis Cornillac campe un chef cuisinier dont le restaurant gastronomique parisien est au bord de la faillite. Un rôle qui l’a touché d’abord parce que le milieu de la cuisine lui parle. « J’aime l’état d’esprit. Dans les restaurants, la pression est énorme et l’investissement total pour être à la hauteur de ce que l’on attend de vous. La démarche me parle car j’ai l’impression d’aborder de la même manière mon métier de comédien », a-t-il confié à Paris Match.
Clovis Cornillac aime manger mais c’est sa douce qui cuisine
Mais ce n’est pas tout. Clovis Cornillac est un grand fan de bonne bouffe. « J’aime boire et manger ! », a-t-il confesse récemment à Télé 7 jours. Il a d’ailleurs ouvert en 2009 son propre restaurant dans sa ville natale, Lyon (Le JoFé devenu depuis le café Mademoiselle). Passionné par le vin, Clovis Cornillac aimerait aussi devenir propriétaire d’un vignoble : « Dans mes rêves j’y pense, mais ce n’est pas à l’ordre du jour parce que je n’ai pas le temps pour m’y consacrer. Cela reste un fantasme ! », a-t-il expliqué à Paris Match.
Et à la maison ? C’est sa « douce » [son épouse, la comédienne Lilou Fogli ndlr.] qui est aux fourneaux. « Je sais me faire à manger et préparer un plat pour mes enfants mais au quotidien c’est elle qui cuisine. Elle le fait à merveille ».
Les tests de grossesse avaient révolutionné la vie des femmes, SpermCheck pourrait constituer une grande avancée dans celle des hommes et, plus généralement, aider les couples qui éprouvent des difficultés à concevoir un bébé. En effet, cet autotest rapide d’infertilité masculine, déjà commercialisé aux Etats-Unis, est disponible depuis quelques jours dans certaines pharmacies à un prix oscillant entre 35 et 39 euros (non remboursés). La promesse du produit distribué en France par la société AAZ : donner un verdict quant à la fertilité d’un homme en sept minutes.
Deux traits rouges : fertile
Pour ce faire, l’utilisateur doit mélanger, dans un gobelet, son sperme à une solution spéciale et en déposer six gouttes sur le lecteur qui recherche le « SP10 », une protéine du sperme. « Le résultat doit être lu exactement après sept minutes, sous peine sinon d’obtenir une information erronée », indique Metronews. Si deux barres rouges s’affichent, cela signifie que la concentration de spermatozoïde est au moins égale à 15 millions / millilitre de sperme. Un chiffre qui correspond au seuil de fertilité fixé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En deçà, une seule barre apparaît, signe de l’infertilité de l’utilisateur. Le résultat se veut fiable à 98%.
L’avancée est importante puisque, jusqu’alors, ce genre de tests ne s’effectuaient qu’en laboratoire, dans le cadre de spermogrammes. Par ailleurs, cet autotest pourrait décomplexer bien des hommes, alors que l’infertilité touche un couple sur cinq et que dans la moitié des cas, elle provient de l’homme. « Ils mettent souvent de temps à venir », explique le Dr Noémie Celton, médecin biologiste au CHU d’Amiens (Somme) dans les colonnes du Parisien. Des patients touchés dans leur virilité qui culpabilisent souvent.
L’autotest ne dispense pas d’un spermogramme
Néanmoins, la notice indique qu’un résultat normal ne peut pas prouver à lui seul la fertilité de l’utilisateur, le nombre de spermatozoïdes n’étant pas le seul critère de l’infertilité masculine (pas d’information délivrée sur la mobilité des spermatozoïdes ou une potentielle anomalie morphologique). Si l’autotest constitue une avancée indéniable, il ne dispense pas donc pas de recourir un spermogramme complet en cas de difficultés à engendrer.
1. Parce que le mec est millionnaire mais ne bosse jamais
Donnons-lui raison. Savez-vous VRAIMENT ce que fait Christian dans la vie, à part regarder par la baie vitrée de son immense bureau tranquillou les mains dans la poche, et froncer les sourcils lorsqu’un appel de boulot vient le déranger pendant ses nombreux et peu avouables loisirs ?
Non.
2. Parce qu’il joue du piano juste après avoir joui
Non, Christian ne fume pas une clope, ni ne s’endort direct après avoir fait sa petite affaire. Il laisse Ana dormir dans ses onéreux draps de satin et part sans faire de bruit faire quelques gammes sur son piano à queue dans le noir, l’air inspiré, repensant certainement à ces moments intenses partagés avec une femme exceptionnelle.
Ouais, gars. Il part pas jouer à Candy Crush, lui.
3. Parce qu’il a un hélico (et un planeur)
Et pas un pauvre scooter, un Velib’ ou ses vieilles godasses pour emmener sa promise dîner. Inutile de vous poser la question, évidemment, c’est lui qui le conduit, et tout cela sans quitter sa passagère des yeux.
Comment ça, qu’est-ce qu’on ferait d’un hélico et où est-ce qu’on le garerait ?
4. Parce qu’il est ultra ordonné
Ses chemises sont encore sous blister rangées dans d’élégants casiers de bois, ses costumes alignés dans un dressing à faire pâlir d’envie Carrie old Bradshaw, il a des petits masques en soie de toutes les couleurs bien ordonnés dans son tiroir. Quant à ses cravates, elles sont roulées sur elles-mêmes et soigneusement rangées et pas JETÉES A MÊME LE SOL (par ailleurs immaculé) !
Comment ça MANIAQUE ?
5. Parce qu’il est au garde à vous comme ça direct
Sans préliminaires ni de « tu veux pas m’aider », ni même avoir à utiliser ses belles mains manucurées, le Grey, accoudé à son piano sur lequel il vient de revisiter une sonate qu’il connaît de tête, se lève d’un bond, nu (oui, c’est pas très très propre de poser son intimité sur un siège de velours…), enroule les jambes de sa partenaire autour de sa taille et PAF, la pénètre en un instant.
Non, Anastasia n’a pas l’air « choquée », elle est « surprise » voyons.
6. Parce qu’il a dix voitures de sport
Quand il ne part pas voltiger en hélico ou en planeur pendant que ses collaborateurs se tapent tout le boulot à sa place, Christian zone en voiture de sport. « C’est laquelle, la vôtre ? » demande Ana dans le garage. « Toutes », répond d’une voix rauque notre pilote qui en a vu d’autres.
Certes, on se demande bien à quoi elles peuvent lui servir puisque son chauffeur-homme de confiance trottine en permanence derrière lui pour le conduire où bon lui semble.
>> Fifty Shades of Grey : une bluette panpan cucul <<
7. Parce qu’il fait de chouettes cadeaux
Pas qu’on soit vénales, hein. Mais c’est vrai que si notre héros 2015 avoue ne pas être très « fleurs et chocolats », nous aussi, on s’en passerait allègrement. Un ordi cassé ? Zou, un livreur vient vous installer illico un MacBook Air à domicile. Une bagnole pourrie ? Aussitôt remplacée par un mignon bolide tout neuf.
Comment ça, on sait pas conduire ? Et alors ! Rhooo.
8. Parce qu’il a toujours des verres de vin à la main
Ok, il débarque un peu n’importe quand sans prévenir ce qui, à la longue, peut être un peu gavant (pour peu qu’on se soit pas correctement épilée parce qu’on est en vacances chez sa maman). MAIS, vous remarquerez que Christian Grey ne vient jamais les mains vides. Somptueux verres à vin remplis d’un grand cru, champagne… pas un tête-à-tête sans un apéro classieux. Chapeau melon, l’ami.
Mais oui, une petite récolte de chez Nicolas fera bien l’affaire.
9. Parce qu’il enlève ses tee-shirts par « de dessus »
Comme les mannequins Levi’s des eighties auxquels E.L. James, l’auteure de la trilogie (un chouia plus âgée qu’Ana), ne semble pas insensible, Grey abuse des codes exagérément virils du cow-boy brut de pomme. Jean déchiré tombant sur les hanches, barbiche de trois jours, notre homme pousse le vice jusqu’à ôter son tee-shirt de façon bien malpratique, mais si sexy. Bref, comme ça :
Qui fait ça ?
10. Parce qu’il est à la fois hot et romantique
« I don’t make love, I fuck hard ». La réplique fera date, et a de quoi émoustiller autant qu’elle peut effrayer. Avouons-le, le genre de type qui balance ça au premier rendez-vous, on n’est pas sûre sûre de rester, et plus encore de faire sa vie avec lui. Et pourtant, en plus d’être un très bon coup manifeste, l’homme au martinet sait se faire plus tendre qu’un meilleur pote secrètement amoureux quand la situation l’impose. Petite valse langoureuse dans le salon avant d’aller dîner chez maman, regards d’agneau sous prozac dès qu’il croise celui de sa dulcinée, monogamie indéniable (ce qui n’est pas à sous-estimer)…
N’étaient ses très gros problèmes personnels, notre homme se rapprocherait-il d’un idéal ?
Ah oui, non, il lui manque quand même un truc qui ne fait pas défaut à notre mec, n’est-ce pas ?
50 Shades of Grey : Ellie Goulding sort un clip sexy avec des images du film
2 Français sur 3 prêts au SM par amour
Selon un sondage réalisé par SexyAvenue, site spécialisé dans le shopping coquin sur internet, 62 % des Français seraient prêts à se laisser tenter par une expérience BDSM (pour « Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadomasochisme ») avec leur partenaire uniquement par amour. Cette étude réalisée auprès de 1764 internautes entre le mois de décembre 2014 et janvier 2015 révèle que les deux tiers des personnes interrogées seraient partants pour pratiquer quantité de choses (bondage, domination et/ou soumission et sadomasochisme) sous la couette (et ailleurs) afin d’offrir davantage de plaisir à la personne qui partage leur lit.
On comprend mieux le succès phénoménal de la trilogie érotico-romantique « 50 Nuances de Grey » qui fait justement état d’une relation sado-masochiste entre le puissant et ténébreux Christian Grey (Jamie Dornan) et l’ingénue Anastasia Steele (Dakota Johnson). L’adaptation au cinéma de cette saga littéraire signée E.L. James devrait également participer à la démocratisation et la désacralisation de la pratique du bondage.
Le SM, un signe de bonne santé mentale
Une enquête publiée dans le Journal of Sexual Medecine révélait que non seulement la pratique du SM ne serait pas signe d’une pathologie mentale mais qu’au contraire, ceux qui la pratiquent seraient plus équilibrés et épanouis que les autres. Un avis partagé par Sophie Bramly, créatrice du site SecondSexe.com, qui confiait récemment à Terrafemina : « Les adeptes de cette pratique que j’ai eu l’occasion de rencontrer sont, pour la plupart, parmi les plus équilibrés. Leur rapport aux autres est aussi extrêmement sain ».
Une pratique déstressante
D’après les résultats d’une autre étude menée par des chercheurs de l’Université de Northern Illinois et révélée par le Huffington Post, il semblerait même que la pratique du sadomasochisme ait des vertus déstressantes se rapprochant de celles procurées « par le yoga, ou certaines pratiques de méditations. » En revanche, jusqu’à preuve du contraire, le yoga n’a jamais permis de grimper au rideau. Quoique…
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