Grâce à de savants calculs basés sur des statistiques et les critiques des films en compétition dans la presse et sur Internet, un jeune étudiant d’Harvard a d’ores et déjà donné la liste des gagnants aux Oscars 2013. Des résultats qui sont évidemment à prendre avec des pincettes, mais qui pourraient d’avérer réels !
TF1 poursuit avec un succès fracassant la diffusion de son émission musicale « The Voice 2 » qui est proposée en première partie de soirée chaque samedi. Cette semaine encore, l’émission était consacrée aux auditions à l’aveugle lors desquels les coachs de l’émission peuvent recruter de nouveaux talents dans leurs équipes respectives afin d’avoir une chance de découvrir LA plus belle voix, puisque c’est là tout le concept de l’émission.
Cette semaine encore, de très belles voix sont venues rythmer l’émission « The Voice 2 » pour le plus grand plaisir de nos oreilles. Reste à savoir laquelle de ces belles voix aura la chance de remporter l’aventure musicale de TF1 et de sortir son premier album.
À 48 heures de la cérémonie des Oscars, les nominés – parmi lesquels Emmanuelle Riva, Jennifer Lawrence, Daniel Day-Lewis, Christoph Waltz ou encore Anne Hathaway – dont les noms sont connus depuis le 10 janvier font l’objet de spéculations en tous genres : qui va succéder à Jean Dujardin (meilleur acteur dans « The Artist »), Meryl Streep (meilleure actrice dans « La Dame de fer »), Michel Hazanavicius (meilleur réalisateur pour « The Artist ») ou Woody Allen (meilleur scénario pour « Midnight in Paris ») ?
Jennifer Lawrence ou Emmanuelle Riva ?
Pour l’Oscar de meilleure actrice, Jennifer Lawrence dans la comédie « Happiness Therapy » est une prétendante sérieuse après avoir raflé de nombreux prix dont un Golden Globe. Mais la jeune actrice de 22 ans pourrait se faire voler la vedette par la doyenne de la compétition, la Française Emmanuelle Riva, dont le nom circule également. Palme d’or à Cannes en 2012 et gratifié d’une distinction spéciale pour ses deux acteurs principaux, le film de Michael Haneke, « Amour », dans lequel l’actrice de 85 ans tient le rôle d’une octogénaire, pourrait aussi s’imposer dans la catégorie du meilleur film et du meilleur film en langue étrangère. Jean Dujardin, qui remettra l’Oscar à la meilleure actrice 2013, s’est d’ailleurs réjoui à l’idée de récompenser une de ses compatriotes.
Chez les hommes, Daniel Day-Lewis et sa prestation dans le dernier Spielberg, « Lincoln » remporte de nombreux suffrages. Mais Bradley Cooper, héros psychologiquement fragile et complètement loufoque d’« Happiness Therapy » ou Denzel Washington dans « Flight » sont aussi des candidats crédibles pour la statuette du meilleur acteur.
Quels meilleurs seconds rôles ?
La performance de Christoph Waltz (déjà oscarisé en 2010 pour « Inglorious Basterds ») dans « Django Unchained » de Quentin Tarantino mérite sans conteste un Oscar pour le meilleur second rôle masculin. Mais les quatre autres prétendants (Philip Seymour Hoffman, Robert de Niro, Alan Arkin et Tommy Lee Jones), tous déjà récompensés par une statuette, peuvent encore s’imposer. Côté femmes, le nom d’Anne Hathaway revient régulièrement pour son rôle de Fantine dans « Les Misérables » alors que la comédie musicale de Tom Hooper est aussi en compétition pour l’Oscar du meilleur film.
Si les catégories de meilleur film, meilleur réalisateur et meilleur scénario sont très ouvertes, « Skyfall », le dernier James Bond, pourrait rafler la mise dans les rubriques musicales avec sa bande originale interprétée par la chanteuse Adele tandis qu’« Anna Karénine » fait figure de favori pour un Oscar des meilleurs costumes.
La vérité surgit tôt ou tard et Alexander, surnommé Sasha, aurait dû le savoir. Le jeune homme fiancé depuis cinq ans a été surpris en flagrant délit d’infidélité sur « Yandex Maps », l’équivalent russe de notre Google Street View.
C’est Marina Voinova, sa fiancée, qui a fait par hasard cette embarrassante découverte. Alors qu’elle recherchait une adresse sur le site de cartographie russe Yandex Maps, elle aperçoit une silhouette bien familière sur la photo. Elle zoome, et là, c’est le drame ! Son homme apparaît bras dessus bras dessous avec une autre.
Contrairement à Google Street View, les visages ne sont pas floutés automatiquement sur Yandex. Mais il est possible de réclamer qu’ils le soient en cas de force majeure. Dans cette situation par exemple.
Le cliché aurait été pris l’été dernier, le bras cassé de Sasha a été le détail qui a éveillé les soupçons de la jeune femme de 24 ans : « Quand Sasha est rentré à la maison, je l’ai directement appelé. Je lui ai demandé de chercher l’adresse sur l’ordinateur », raconte-t-elle à Life News. « Quand l’image s’est téléchargée, le visage de Sasha a changé de couleur. Je l’ai regardé dans les yeux, attendant une explication ».
Sasha a alors tout reconnu, jurant qu’il n’a jamais aimé cette autre femme. Le fiancé infidèle a échoué à l’épreuve de l’explication. Marina a mis fin à leur relation.
Le pitch : L’œuvre d’un journaliste qui en a assez qu’on ne parle que de l’orgasme féminin dans la presse féminine. Et comme la presse masculine n’en parle pas ou peu, l’auteur se propose de nous livrer « les vraies préférences des hommes et leurs petites lubies ». La phrase choc : « N’écoutez pas les hommes qui se prétendent insensibles à ce qu’ils nomment parfois les « clichés » de la féminité. S’ils vous disent qu’une culotte en coton trouée les excite autant qu’une lingerie raffinée, ne les croyez pas… » Avant-goût : « Quand vous faites une fellation à votre homme, mettez les doigts dans sa bouche. Soyez attentive aux mouvements de sa langue. Très souvent, il sucera et lèchera vos doigts comme il aimerait que vous vous occupiez de son sexe. »
« Faire l’amour à un homme », de Pierre des Esseintes, Éditions First, 2,99 €.
« Délivre-moi », de Julie Kenner
Le pitch : Nikki Fairchild n’a pas besoin d’un mentor ou d’un amant pour la rassurer. À 24 ans, l’ex-reine de beauté débarquée de Dallas commence un nouveau job à Los Angeles et s’apprête à mettre sa carrière sur les bons rails. Elle entretient pourtant un drôle de rapport avec son passé. Sa rencontre avec Damien Starck et la proposition « indécente » qu’il va lui faire ne va rien arranger. Le riche homme d’affaires et la jeune beauté nous rappellent un peu trop le couple Ana-Christian de « Fifty Shades of Grey ». Les lectrices de mommy porn apprécieront. La phrase choc : « Je vais vous baiser Nikki, et quand nous jouirons, nous jouirons si fort que notre plaisir crèvera le plafond. » Avant-goût : « Je veux un portrait de vous. Un nu. (…) On vous voit de trois quarts. Vous êtes au pied d’un lit, face à une fenêtre ouverte sur l’océan. Des voilages diaphanes flottent autour de vous et vous frôlent. On aperçoit le renflement de vos seins et on devine un téton. Mais vous détournez les yeux. Votre identité reste secrète. Il n’y a que moi qui la connais. »
« Délivre-moi », de Julie Kenner, Michel Lafon, 16,95 €.
« Sex in the Kitchen », de Octavie Delvaux
Le pitch : Charlotte a beau avoir une libido ultra-exigeante, elle est sans doute la plus sage de ses copines complètement barrées et désinhibées. Déborah, orthophoniste le lundi et dominatrice le mardi, s’éclate en organisant de partouzes de soumis et en habillant ses amants en soubrettes ou en lapins. Morgane travaille quand ça lui chante et change de mec comme de couleur de cheveux. Au beau milieu de cette débauche, Charlotte mène sa barque de blogueuse cuisine à succès, fraîchement embauchée dans un magazine réputé. Son équilibre et sa vie sexuelle basculent le jour où un nouveau rédac’ chef déboule dans l’open space… La phrase choc : « Homme enculé, homme fidélisé ». C’est en ces termes que Déborah livre sa doctrine sur le couple qui dure à Charlotte. Elle développe dans cette savoureuse formule : « L’homme est peu de chose : flattez-lui le cul, et il filera doux ». Avant-goût : « Au moment de quitter la salle de bain, Charlotte fut prise de remords. Elle qui passait ses journées à imaginer des recettes saines et biologiques, faites à base de produits cultivés dans le respect de l’environnement, voilà qu’elle se surprenait encore à adopter un comportement anti-écologique notoire. Il fallait vraiment qu’elle renonce à se masturber sous la douche. Combien de litres d’eau gâchés pour son plaisir ? »
« Sex in the Kitchen », de Octavie Delvaux, La Musardine, 15 €
C’est en direct de Twickenham que se jouera le match de de Tournoi des VI Nations 2013 opposant l’équipe d’Angleterre à celle de France. Une rencontre très importante pour l’équipe de France de rugby qui n’a pas droit à l’échec après sa défaite à Rome. Le XV de France doit donc s’imposer ce samedi.
Le match de de Tournoi des VI Nations 2013 Angleterre vs France sera diffusé en direct sur la chaine France 2 dès 18 heures. Il sera donc possible de le suivre en direct live streaming gratuitement via le site de France Télévisions. Aucune raison pour en manquer une miette.
On croise donc les doigts pour une belle victoire du XV de France lors de cette rencontre Angleterre vs France ! Que le meilleur gagne.
Après deux émissions diffusées avec succès sur TF1, l’heure était venue ce vendredi de passer à la grande finale pour « Splash : le grand plongeon ». L’occasion de revoir les huit candidats et candidates les plus populaires de l’aventure humide de TF1 qui ne sont autres que Christian Califano, Gégé, Nadège, Laury Thilleman, Jackson Richardson, Clément Lefert, Keen-V et Christophe Beaugrand.
Après un nouveau plongeon et beaucoup d’efforts pour être à la hauteur sans se blesser, c’est finalement Clément Lefert qui remporte la première saison de l’émission « Splash : le grand plongeon », une nouvelle preuve de sa popularité auprès du public de TF1 !
L’avenir du célèbre distributeur de téléphonie mobile : The Phone House ne tient-il que sur un léger bout de fil ? Les jours, les semaines et les années passent, The Phone House ne peut plus se voiler la face !
La négociation d’un éventuel renouvellement de contrat entre The Phone House et Orange se fait de plus en plus désirer. Mais rien ne se passe. Il est donc tout à fait rationnel de se demander si Orange envisage concrètement la suite de sa collaboration avec The Phone House. Mais la réponse n’est pas si simple…
Avec l’arrivée des monstres sur le marché de la téléphonie mobile comme Free. Les plus grands opérateurs tels qu’Orange doivent s’aligner dans ce contexte de baisse généralisée des prix.
Une telle décision a donc obligé Orange a se concentrer davantage sur les propres réseaux de distribution. Qui est le plus désavantagé ? Les distributeurs comme The Phone House qui se trouvent donc dans un contexte social particulièrement instable.
En effet, la société a annoncé la fermeture de près de 79 boutiques induisant la fermeture de 246 postes. Est-ce que The Phone House annonce concrètement la fin de son existence ?
Pas pour maintenant !
En effet, Arnaud Montebourg reste optimiste pour la suite des évènements, car des mesures sont prises pour pousser The Phone House vers l’avant.
La solution serait simple, nous sommes dans un contexte économique et mondial en pleine évolution, alors pourquoi ce ne serait tout simplement pas le cas pour The Phone House qui pourrait diversifier son offre ?
Cela pourrait être un projet en cours puisque The Phone House pourrait se trouver une nouvelle vocation en s’ouvrant à la vente de terminaux nus, tablettes et autres matériels numériques.
The Phone House a encore moult marchés à conquérir et n’est pas prêt d’annoncer son dépôt de bilan (en tout cas, on l’espère) ! Courage The Phone House !
Entre les combinaisons, les moufles, les bonnets, les écharpes, les grosses chaussettes, les collants, le piz-buin, la crème solaire protection 50, la location des skis, des chaussures et des bâtons, le forfait, les cours et l’appart’, voire l’hôtel, autant dire que le budget de base de cette petite semaine sportive eût pu vous permettre de partir tranquillos en 3 étoiles en Thaïlande pour vous dorer la pilule sur la plage pendant que les petits s’ébrouent tranquillement dans l’eau tiède et transparente. Ajoutez à cela des restos d’altitude à 25 euros la saucisse-frites (« Maman ze veux un cocaaaaa ! » – 6,50 euros), tarifs pratiqués par des établissements sans scrupules qui jouent sur le fait que vous n’avez aucun autre moyen de sustenter votre progéniture frigorifiée (cruels montagnards !), les sempiternels chocolats-vins chauds d’après-ski et les rachats de dernière minute (masques pour tout le monde à cause de la tempête au magasin de la station qui affiche +125% par rapport à Décathlon = 370 €) et le calcul sera vite fait : pour le même prix, vous auriez pu refaire votre salon… Dommage !
2. C’est fatigant !
Les vacances, c’est fait pour se reposer, n’est-ce pas ? Et pourtant, jamais l’adage « les mères de famille sont les seuls travailleurs qui n’ont jamais de vacances » n’aura pris autant son sens que lors de vacances familiales en montagne. Dès le lever, habiller ces petits corps mollassons occupés à jouer à la DS prend des allures d’épreuve de Koh-Lanta. Superposer ces couches de vêtements aux matières laineuses (et puantes), plastifiées, puis re-laineuses, penser à trimballer tous les accessoires, revenir à la chambre parce qu’il en manque forcément un, se pincer atrocement les doigts en clipsant les chaussures de ski, puis porter les siens (de ski) sur des kilomètres de pente verglacée, remonter en escalier chercher le plus petit en larmes, bloqué en haut de la piste bleue, l’emmener aux toilettes (s’il a un pantalon à bretelles, ce moment devrait être le clou de vos vacances…), déchausser, ranger l’attirail au local, baigner tout ce petit monde et préparer la tartiflette… : jamais retour au boulot ne vous aura semblé aussi libérateur.
3. On est moche !
En vacances, une maman aime prendre soin d’elle, se sentir belle, reposée, le teint halé. C’est pourtant avec un bronzage grotesque « contour de masque » façon pochoir que vous regagnerez, l’œil torve, votre lieu de travail. Enfin, par bronzage, entendez plutôt peau rougie par un soleil cruel réverbéré par la neige immaculée, uniquement occupée à vous gâcher la vie. S’il fait mauvais, vous n’en ressortirez malgré tout pas grandie puisque, culpabilisée par le prix exorbitant du forfait plein-temps que vous vous serez offert, vous irez skier dans la tempête, le cheveux frisotté-glaçonnisé, le nez rouge-coulant, l’œil larmoyant et les lèvres parcheminées, situation que vous pourrez admirer avec effroi lorsque, à bout de forces, vous irez vous réfugier dans les toilettes d’un gîte et que, après avoir retiré votre costume de Robokop, vous ferez face à l’abominable femme des neiges que vous serez devenue. « Maman, tu crains ».
4. On fait la queue partout !
Dans la vie de tous les jours, vous avez l’impression d’attendre en permanence, perdant là un temps précieux sur votre emploi du temps de ministre. Au ski, c’est pire… Les quelques minutes d’agréable descente, à sentir l’air pur balayer votre visage serein et enfin un poil reposé vous coûteront chaque fois 25 minutes de queue au télésiège (à vous prendre des coups de bâton monsieur Duss par d’odieux personnages exaspérés, qui feraient presque passer vos voisins de la ligne 13 pour de parfaits gentlemen). Au resto d’altitude, le temps d’attente que vous endurerez pousserait le dalaï-lama à un meurtre collectif, sans parler de l’unique supermarché de la station qui, outre le fait que sa dernière nouveauté date des années 80 (la station découvre avec étonnement les Petits Ecoliers) et vous sera vendue avec une majoration entendue de 180%, il fera subir une heure supplémentaire de suée en combi à votre corps malodorant et endolori.
5. On grossit !
Pour endurer toutes les épreuves précitées, vous aurez deux solutions : manger, ou boire (ou les deux). Prise d’une boulimie frénétique mi-naturelle (« il fait froid, on fait du sport, il faut prendre des forces ! »), mi-psychologique (« il fait froid, on fait du sport, il faut prendre des forces ! »), vous engouffrerez dès le réveil pains au chocolat, tomme de Savoie, jambon de pays, céréales, pain grillé, confiture, œufs et camembert comme s’il s’agissait de votre dernier repas alors qu’habituellement, votre petit pain de seigle vous fait la matinée. Le soir, dès 17h, les gâteaux tourneront avec rythme dans votre salon étriqué où, en chaussettes humides, chacun repoussera l’heure du bain en boulottant convulsivement des sucreries (« il fait froid, on fait du sport, il faut reprendre des forces ! ») avant de se jeter, à l’heure du dîner, sur des raclettes gargantuesques qui alterneront avec des fondues, des tartiflettes, des assiettes de charcuterie et autres mets fort sains, le tout arrosé de vin blanc sucrailleux du plus bel effet pour votre estomac. On fait du sport et tout mais on a pris 5 kilos… Too bad.
Au finish, vous reviendrez donc de ces petites vacances en famille à l’air pur de nos montagnes grosse, brûlée, crevée, exaspérée et fauchée. Alors, toujours partante ?
Ringarde la barbe de votre homme ? Rien n’est moins sûr puisque porter une barbe aurait de nombreux avantages pour la santé des hommes selon une étude australienne tout ce qu’il y a de plus sérieuse. En effet, le premier avantage du port de la barbe serait de protéger la peau du soleil et donc des cancers associés. Evidemment, une barbe n’empêche pas de mettre la dose de crème solaire en plein été, mais elle aide sans aucun doute à une meilleure protection.
Mieux encore, porter une petite barbe permettrait aussi de se protéger du pollen qui a tendance à voltiger dans les airs et à pénétrer dans nos voies respiratoires, ce qui n’est pas forcément recommandé pour notre santé. Enfin, une barbe permettrait aussi de ralentir le vieillissement cutané.
Voilà donc d’excellentes raisons de jouer les paresseux du rasoir, même si certaines risquent de moins apprécier les petits bisous dans le cou !
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