Une jeune Allemande à la recherche d’un emploi a reçu une étonnante proposition de la part l’agence du Travail, l’équivalent de Pôle Emploi en Allemagne : un emploi de serveuse dans une célèbre maison close du pays, le Colosseum, située à Augsbourg en Bavière, a rapporté la presse locale mercredi dernier. En effet, la prostitution ainsi que ce type d’établissements sont autorisés en Allemagne. Une offre d’emploi choquante à laquelle la jeune femme de 19 ans ne s’attendait pas. « J’étais à la recherche d’un travail décent de femme de chambre, pas d’un job dans un bordel. Ma mère s’est même mise à hurler quand elle a lu la lettre », a-t-elle confié au journal « Augsburger Allgemeine Zeitung ». Suite à cet incident, le directeur de l’agence du Travail, Roland Fürst, a admis l’erreur commise par ses services. D’après lui, ils auraient dû lui expliquer le détail de l’offre par téléphone plutôt que de la lui envoyer par écrit.
En 2010, un incident similaire s’était produit en France. Une femme au chômage avait trouvé sur le site de Pôle Emploi une offre pour animer des chats pour adultes, le jour et la nuit. La jeune femme de 29 ans, qui avait tout de même décidé de postuler, avait été scandalisée devant la nature exacte du job : il lui était en réalité demandé de porter une nuisette devant sa webcam et de faire le genre de choses « qu’on fait pour son petit copain ». « C’est ultra-choquant. La frontière avec la prostitution n’est vraiment pas loin et cette offre d’emploi se trouve sur le site de l’État. La dérive est énorme », avait-elle déclaré au Parisien. Alice Bidet
McDonald’s poursuit sa quête du terroir Français. Un mois après le lancement du petit menu « Casse-croûte », la célèbre chaîne de fast food américaine lancera dès la semaine prochaine un nouveau burger au camembert.
« La logique (de l’opération), c’est cette intersection qu’on essaie de trouver en permanence entre notre métier, qui est le hamburger, et la culture alimentaire française », a expliqué le directeur général de McDonald’s France à l’AFP.
Pour la troisième année consécutive, c’est l’opération « Grandes envies de fromages » qui fera une place au camembert dans les cartes de McDonald’s. On retrouvera donc aussi des sandwiches au Comté, au fromage à raclette et au chèvre. Mais attention, il ne sera disponible que pendant deux mois.
Avez-vous envie de goûter aux nouvelles recettes de burger McDonald’s ?
Quand on goûte aux spécialités de Dubrovnik ou de Split, on se demande pourquoi on ne l’a pas fait avant. En effet, alors qu’on vante les spécialités italiennes ou espagnoles, celles de la Croatie restent tout à fait méconnues en Europe. Et pourtant… Le pays, où a été inventé le vermout, compte autant de sortes de raisins que la France, et les langoustines et les huîtres de la côte adriatique seraient parmi les meilleures au monde. Certains disent même que quelques-uns des plats typiques de l’Italie viendraient en réalité de Croatie.
La qualité de la gastronomie d’un pays se mesure aussi à ses chefs, et là, la Croatie est plutôt bien lotie. Parmi ses grands noms, on trouve Zlatko Marinovic : en 2007, le propriétaire du restaurant Nostronomo à Split est nommé « Chef d’argent » de la Méditerranée, et fait partie depuis cette année du jury de l’Association mondiale des sociétés de chefs (WATS).
Saucisson sec de Slavonie, truffes blanches d’Istrie…
« Notre pays est petit et relativement jeune », explique Zlatko Marinovic, « sa gastronomie s’est donc constituée autour des cultures culinaires méditerranéennes et de l‘Est ». Pour la chef Marina Gaši, « notre cuisine est très intéressante, car elle mélange son identité à celles de la Hongrie, de la Serbie, de l’Autriche, de l’Italie… C’est une cuisine moderne, mais d’influences traditionnelles ».
La jeune femme est une des étoiles montantes de la gastronomie croate depuis qu’elle a repris il y a un an le restaurant de ses parents, à Novograd. Sans formation culinaire (« J’ai appris dans la cuisine de ma mère »), elle régale les papilles des touristes comme des locaux, avec une carte simple mais très créative. C’est peut-être ça le mot d’ordre de la gastronomie croate : priorité est donnée à la qualité du produit, et une touche de modernité vient remettre la tradition au goût du jour. Si on trouve beaucoup d’huile d’olive ou de poisson dans sa cuisine, c’est qu’il s’agit des ingrédients de prédilection de sa région, l’Istrie, située à l’ouest du pays.
À chaque région ses spécialités : le « kulen », saucisson sec de Slavonie, les fromages de Dalmatie, la viande d’agneau du Kvarner, les truffes blanches d’Istrie – les meilleures au monde, paraît-il… La Croatie est d’ailleurs une terre de champignons, et ses cèpes sont cuisinés sous toutes les formes. Zlatko Marinovic a quant à lui installé son restaurant juste à côté du marché de poissons de Split, pour « avoir le meilleur de la nourriture locale » ; pour lui, les thons ou sardines de la mer Adriatique sont « un vrai produit de luxe de la gastronomie ». Le plat qu’il conseillerait à un Français fraîchement débarqué ? Des sardines grillées sur salade fraîche, avec des pommes de terre revenues dans de l’huile d’olive. Que du naturel, que du bon.
Chocolat et huile d’olive
Il y a certes beaucoup de plats à base de poissons ou d’huile d’olive, comme dans toute cuisine méditerranéenne, mais le pays fait aussi la part belle aux viandes ; les Croates sont notamment adeptes de grillades et de farce, de tradition plus balkanique – les « cevapcici », rouleaux de viande hachée et grillée aux oignons, constituent un plat quotidien de base servi dans de nombreux restaurants.
Quant au vin, on en fait dans tout le pays. « Nos vins ne ressemblent pas tant aux français… Mais ils sont très variés et de grande qualité », assure Irina Ban Vukosavic, organisatrice du Croatia wine gourmet Festival. On trouve de grands vins blancs dans le nord du pays, tandis que la zone côtière produit d‘excellents crus de rouge.
Pour nous faire découvrir en quelques plats la cuisine de Croatie, Marina Gaši a concocté un tartare de sole sur un riz noir croustillant, une soupe de langoustines, et des gnocchis sauce calamar. Le dessert rend hésitant – fondant de chocolat au citron avec émulsion d’huile d’olive – pourtant huile et cacao se marient (étonnamment) à la perfection. « On ajoute souvent de l’huile d’olive à nos pâtisseries », assure Marina ; si on retrouve une culture très européenne dans ses plats, la Croatie sait tout de même nous surprendre. À goûter également : le « Biska Rossi », un digestif fruité qui donne envie de prendre un aller simple pour Zagreb. Prijatno ! (Bon appétit !)
Si une large majorité des Français est favorable au projet de loi sur le mariage homosexuel, près d’un Français sur deux serait mal à l’aise face à un couple homosexuel, selon un sondage Ifop pour Femme Actuelle paru mercredi 6 février. Mais l’on note de nombreuses différences femmes-hommes et notamment en fonction du couple auquel les personnes interrogées sont confrontées. En effet, 43% d‘entre elles sont « mal à l‘aise » devant un couple d‘hommes et 41% des sondés devant un couple de femmes. Et parmi eux, les hommes semblent encore plus sensibles à cette question : quand 38% des femmes ne sont pas à l’aise avec l’homosexualité masculine, les hommes sont 48% à l‘être ! Une différence moins accentuée face aux couples de lesbiennes : 43% des hommes sont mal à l’aise face à elles, contre 40% des femmes.
Couples atypiques
Mais l’étude s’est aussi penchée sur les couples atypiques : résultat, 41% des sondés sont « mal à l‘aise » face à un couple « avec une femme beaucoup plus âgée que l‘homme ». La réciproque (un couple avec un homme beaucoup plus âgé que la femme) est, elle, en revanche bien mieux acceptée : seuls 33% des Français sont cette fois « mal à l’aise ».
Ce sondage a été réalisé par internet du 12 au 15 janvier auprès d’un échantillon de 1 215 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).
A l’origine, je suis auteur de romans policiers humoristiques. Il y a plusieurs années, j’avais écrit « Tueur de portable sans mobile apparent », le premier roman dont le téléphone mobile était le héros. L’intrigue mettait en scène un tueur invisible qui s’attaquait au personnes possédant un téléphone portable. C’est ainsi que j’ai eu l’idée de cette journée de réflexion autour des nouvelles utilisations de cet objet.
En 1999, j’ai donc décidé de monter ce projet, choisissant la date symbolique du 6 février, St Gaston, parce que « Gaston y’a l’téléfon qui son et y’a jamais person qui répond ». Loin de partir en croisade contre le mobile, je souhaitais davantage qu’on prenne le temps, durant cette journée de « grève du portable », de réfléchir à l’évolution de notre quotidien autour de l’utilisation que nous faisons du portable. Trouvant qu’une journée n’était pas suffisante, j’ai décidé en 2004 de la compléter par deux jours supplémentaires.
Chaque édition est placée sous un thème particulier. En 2002, par exemple, nous avons axé notre réflexion autour de la santé, sous le slogan « Moins de 2 minutes avec mon portable, c’est sans prise de tête pour mes neurones ». En 2003, nous nous sommes interrogés sur l’utilisation du portable par les automobilistes. Cette année, je souhaiterais qu’on cesse d’utiliser le terme de « nomophobie », qui sonne comme « homophobie » ce qui, par les temps qui courent, ne me plaît absolument pas ! J’ai réfléchi à un nouveau terme et propose donc de le remplacer par « adikphonia » : « adik » pour « addiction » et « phonia » (et non « phonie ») en référence aux maladies.
Personnellement, je possède un portable (et pas un smartphone !) que j’utilise uniquement lorsque je suis en province. A Paris, où je gère une boutique de livres d’occasion, j’ai un téléphone fixe dans ma boutique ainsi qu’un ordinateur connecté, tout comme à mon domicile, ce qui me semble amplement suffisant. L’addiction créée, à mon sens, par les différents acteurs de l’économie moderne, entraîne une dépendance croissante chez l’utilisateur. Que fera-t-on, par exemple, lorsque notre portable nous servira à la fois à valider notre titre de transport, à payer dans les magasins, à joindre nos proches grâce à des numéros préenregistrés que l’on ne connaît plus par coeur, et qu’on l’égarera…? Pensez à la coupure Orange d’il y a quelques mois, et à la panique qu’elle a suscitée…
L’année prochaine, notre axe de réflexion tournera vraisemblablement autour du SMS.
En attendant, vous pouvez télécharger gratuitement jusqu’au 8 février 2012 minuit « Adikphonia, le livre numérique » de Phil Marso dans lequel il recense plus de dix ans de pratique de la téléphonie, et donne des conseils pour lutter contre l’addikphonia de façon romancée et sur un ton humoristique, ainsi qu’il aime à partager ses réflexions. Bonne lecture !
Adeline Blondieau ne s’attendait pas à être au cœur de l’actualité cette semaine, et pourtant. La lumière est venue de son ex, Johnny Hallyday, avec qui elle a été mariée deux fois dans les années 1990. Ce dernier vient de sortir son autobiographie et ne laisse rien au hasard. Il qualifie ainsi son ex-femme de « serpent ».
« Adeline était hystérique, à la moindre contrariété, elle balançait les chaises par la fenêtre. […] C’est un serpent, elle me cocufiait tout le temps. Elle me trompait avec tous les petits mecs de Saint-Tropez et jouait les saintes-nitouches » peut-on lire dans le livre de Johnny Hallyday en librairie depuis le 7 février. Un passage choquant pour la mère de famille et héroïne de « Sous le soleil » qui ne compte pas se laisser faire.
« Je répondrai par la voie légale, via mon avocat. C’est-à-dire que je vais l’attaquer en diffamation, tout simplement. Je suis mère de famille et il est hors de question qu’on puisse porter atteinte à mon image et à ma réputation ». Le frère d’Adeline, qui est aussi son avocat, s’est exprimé ce matin sur les ondes de RTL. « Elle a dû mal à admettre qu’on raconte des mensonges sur elle, sur son compte, confie-t-il. On porte atteinte à son honneur, à sa réputation. Elle n’a jamais voulu laver son linge sale en public. » Alors que de Johnny ou d’Adeline aura gain de cause presque 20 ans après leur séparation ? La suite au prochain épisode…
1. Anne Hidalgo, la potiche selon Jean-François Legaret
« Ce n’est pas du tout mépriser Anne Hidalgo que de dire qu’elle n’a ni la personnalité ni l’autorité naturelle de Delanoë. Mais la règle qu’on lui a imposée et qu’elle a acceptée c’est « Sois belle et tais-toi » ! C’est un peu court pour exister. Elle n’est que la voix de son maître et pendant douze ans elle a accepté de jouer les potiches » : Jean-François Legaret, président du groupe UMP au Conseil de Paris et candidat déclaré à la primaire de son parti pour la mairie de la capitale, n’a pas mâché ses mots vendredi 1er février dans une interview accordée au Parisien. Des propos vivement critiqués par Martine Aubry notamment : « Ces propos d’une grossièreté sans nom et d’un machisme d’un autre temps le déconsidèrent ».
2. Dominique Bertinotti tacle Christian Jacob en pleine Assemblée
Ulcérée par une remarque du chef du groupe UMP à l’Assemblé nationale Christian Jacob, Dominique Bertinotti, ministre de la Famille, l’a soudainement pris à partie, lundi 4 février, en plein débat sur le mariage gay : « M. Jacob, j’ai découvert le machisme ordinaire lorsque je suis entrée en politique et lorsque, effectivement choisie pour représenter mon propre parti, j’ai entendu dire que « pour prendre une veste, une femme ferait bien l’affaire ». Depuis, j’ai le cuir tanné. » Bien qu’inaudible depuis les tribunes de presse, Christian Jacob a dû sérieusement vexer la ministre socialiste pour recevoir une telle semonce. Elle s’est ensuite vu rétorquer par le député de droite Xavier Breton que son absence momentanée de l’hémicycle lors des débats sur les amendements proposés par l’UMP ne pouvait s’expliquer par sa seule condition féminine.
3. « Osez le masculisme », dérapage à Sciences Po Bordeaux
Pour avoir proféré des insultes sexistes et homophobes sur Facebook et avoir créé ou adhéré à un groupe baptisé « Osez le masculisme », huit étudiants de Sciences Po Bordeaux ont passé un entretien préalable devant le conseil de discipline mercredi 6 février. Cet humour ordurier avec des sondages comme « pour ou contre le viol collectif » et des affirmations du genre « les féministes sont des lesbiennes » ou « les lesbiennes sont des salopes » était a priori destiné à détourner la page Facebook d’A-bord, une association de l’école qui réfléchit et débat sur les questions de genre. Pour l’instant, les sanctions prises par l’établissement ne sont pas connues mais la direction de Sciences Po Bordeaux pourrait porter plainte contre les créateurs de ce groupe.
4. Oprah Winfrey accusée de discrimination contre une de ses employées
Les femmes ont elles aussi régulièrement leur place dans ce machomètre. Cette semaine, c’est la papesse du talk-show américain qui entre dans notre top 4 : Oprah Winfrey et sa chaîne OWN sont accusées de discrimination sexuelle par une ex-employée. Carolyn Hommel, écartée de ses fonctions au retour de son congé maternité puis licenciée un mois après, affirme que l’animatrice a délibérément engagé une personne en CDI pour la remplacer durant sa grossesse. Alors qu’elle était en bonne voie pour être promue au poste de vice-présidente, ses notes d’appréciation dans l’entreprise auraient brusquement chuté, selon elle, sans explication.
Elle est devenue la « superstar » des réseaux sociaux dès l’ouverture, le 29 janvier dernier, des débats sur le mariage pour tous à l’Assemblée nationale. La ministre de la Justice Christiane Taubira, en porte-flingue déterminée du gouvernement sur ce projet de loi, monopolise, sans surprise, la première place du Top 10 du baromètre exclusif Synthesio pour Terrafemina des femmes politiques françaises sur les médias sociaux. « Christiane Taubira comptabilise 41 158 mentions sur les médias sociaux entre le 16 et le 31 janvier. A partir du 28 janvier 2013, les conversations sont en nette augmentation », observe Charlotte Lesage, Community Manager chez Synthesio. « La ministre est, le plus souvent, citée dans le cadre du débat autour du mariage pour tous, de la PMA et la GPA », avec plus de 34 000 mentions autour de ce dernier débat. En effet, sa circulaire sur la gestation pour autrui a fait grand bruit, décriée par beaucoup, à la fois dans l’hémicycle et sur les réseaux sociaux. « Mme Taubira se retrouve ainsi au milieu du buzz notamment lorsqu’Hervé Mariton critique sa circulaire sur la GPA », souligne Charlotte Lesage. Une circulaire également scandaleuse selon l’association « Ni putes ni soumises » qui demande immédiatement son retrait : « Ni pute Ni soumise demande à #Taubira de retirer la circulaire sur la #GPA ! La gauche qui rassemble #LOOL », commente avec ironie un internaute. Ainsi, parmi les twittos qui ont le plus cité la ministre au cours des quinze derniers jours, on retrouve beaucoup de détracteurs, qui s’élèvent contre le du projet de loi défendu à l’Assemblée. D’ailleurs, les mots-clefs les plus cités concernant Mme Taubira ne laissent pas de place au doute : « circulaire » (6599 mentions), « GPA » (7 497), « mariage pour tous » (7 386) sont les termes qui reviennent le plus régulièrement.
Christine Boutin trouve une tribune sur Twitter
Autre femme politique engagée, mais cette fois contre le projet de loi du mariage pour tous, Christine Boutin se hisse à la seconde place de ce baromètre. Très active sur le réseau social pour dénoncer ce projet socialiste qu’elle combat, la présidente du parti Chrétien-Démocrate n‘est pas avare de tweets et suit activement le débat politique sur les réseaux, dix ans après ses prises de position dans l’hémicycle contre le Pacs. Mais, cette fois privée de mandat électoral, elle doit se contenter de Twitter comme tribune.
#directAN incroyable voir la #gauche cadenasser l’oppositionsur #MariageGay ! quel régime? si la parole n’est + libre dans l’hémicycle!
— Christine Boutin (@christineboutin) 4 février 2013
#MariageGayne pas s’endormir : le retrait #PMAn’est qu’une habileté ! Merci @députesdel’opposition mais ça viendra +tard!#onnelacherien
— Christine Boutin (@christineboutin) 3 février 2013
#MariageGay: magnifique cette France du 13 janvier qui se lève et qui ne faiblit pas! Merci à tous! S’il le faut on rentrera en #resistance
— Christine Boutin (@christineboutin) 2 février 2013
Très active sur Twitter au sujet du mariage pour tous, Najat Vallaud-Belkacem a également été régulièrement citée par les twittos, ce qui lui vaut d’arriver à la quatrième place du baromètre. Son passage sur le plateau de l’émission « Mots croisés » sur les suites de la « Manif pour tous » le 13 janvier dernier lui a notamment valu de monopoliser un temps les discussions sur le réseau social.
@najatvb #MotsCroises arrêtez d’éviter le débat sur l’avenir de la société !
— Aymeric dela Valette (@Aymericbdlv) 14 janvier 2013
Bien joué, @najatvb ! On ne peut pas confondre l’absence d’un père et l’abandon par un père #motcroises
— Thomas Doussau (@ThomasDoussau) 14 janvier 2013
Elle espérait ne pas rester dans l’ombre de sa collègue de la Justice. La ministre de la Famille Dominique Bertinotti profite de l’actualité brûlante sur son créneau pour se hisser, de justesse, dans le Top 10 des femmes politiques qui font l’actu sur les réseaux sociaux. L’agenda parlementaire des prochaines semaines, avec la présentation du projet de loi sur la Famille fin mars, constitue pour elle une chance de progresser encore dans notre baromètre.
Prêtée pour un an, « La Liberté guidant le peuple », le célèbre tableau d’Eugène Delacroix que la plupart connaissent pour avoir illustré l’ancien billet de 100 francs, a subi jeudi soir un acte de vandalisme au musée du Louvre de Lens.
Peu avant la fermeture, une jeune femme de 28 ans a en effet sorti un marqueur avant d’y inscrire une phrase d’une trentaine de centimètre dans le bas droit du tableau, juste au-dessus du visage du personnage qui inspira le Gavroche des « Misérables » de Victor Hugo. « Il s’agit d’un acte d’une personne considérée comme déséquilibrée, ayant des problèmes de maturité. Elle a voulu marquer le tableau, ‘de sa marque’ dit-elle », a confié le député-maire Guy Delcourt au micro d‘Europe 1. Rapidement appréhendée, la jeune femme a été confiée à la police avant que les experts ne se penchent sur l’étendue des dégâts. L’inscription serait, a priori, facilement nettoyable mais le Ministère de la Culture a demandé une enquête sur la dégradation du tableau. Quant aux experts, ils attendaient de pouvoir observer la marque à la lumière du jour.
Le prêt de l’oeuvre ne serait pas remis en cause par le Louvre parisien. En revanche, la galerie dans laquelle elle se trouvaitest actuellement fermée au public, raison pour laquelle le musée lençois a décidé d’ouvrir gratuitement son exposition temporaire.
On trouve de tout sur la boutique Amazon et cela ne semble pas prêt de changer puisque la firme pourrait prochainement se lancer dans un tout nouveau marché : celui de l’occasion dématérialisée. Concrètement, cela signifie qu’il serait possible d’acheter des Ebooks d’occasion ou encore des fichiers musicaux MP3.
Si Amazon n’a pas encore fait d’annonce officielle à propos de cette nouveauté, elle pourrait arriver prochainement. Le principe serait simple : un utilisateur possède dans sa bibliothèque un fichier dématérialisé et propose d’en céder les droits à un autre utilisateur. Il s’agit alors d’une vente d’occasion qui permettrait par exemple de prêter le dernie Ebook acheté à une personne tierce.
Un tel service pourrait évidemment connaitre un grand succès car cela permettrait de pouvoir acheter des fichiers moins chers, et évidemment pas endommagés.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d’intérêts : en savoir plus
